Dans la presse écrite
"Ignatus ose, tient sa ligne et donne dans le mille... un original, à côté de qui on ne pourra pas passer éternellement"
François Gorin, Télérama
"L’un des plus beaux disques chantés en français que vous rencontrerez cette année (…) Pari réussi en neuf chansons sublimes." Magic
«On est tombé sous le charme de cette délicieuse comptine...» «Le Détroit de Béring» sur la Play-List Libération
"Ignatus casse les codes de la chanson... E.pok, une des réjouissances de la rentrée", Olivier Nuc, Le Figaro
"Son disque le plus ambitieux dans la lignée aventureuse des grands Bashung - en plus intime, moins épique... mais terriblement en phase avec notre époque, qu’il encapsule avec brio" Nicolas Brulebois, Hexagone (chronique + interview 6 pages)
"Des sources d’inspiration peu communes dans la chanson française actuelle", La Vie
"un album sortant des sentiers battus, autant par son approche des arrangements que par son sens de la formule percutante" Stéphanie Berrebi, Francofans
"Les neuf compositions de cet album sont autant de pièces d’orfèvre, atypiques et novatrices" Régis Gaudin, Longueur d'Ondes
Sur le net (médias, webzines, blogs...)
«Il est peu d’exemples qui disent avec autant d’éloquence la capacité des artistes à se réinventer envers et contre tout" Bertrand Dicale, RFI Musique
"[e.pok] ou le renouveau de la chanson française "l'album pop français qui tue", L'Autre Quotidien
«... la profondeur sobre et émouvante d’Ignatus, artiste en constante évolution et à l’inspiration intarissable» Raphaël Duprez, indiemusic.fr
"Un chef d’œuvre de chansons, celles qui, d’épure, s’habillent de vêtements d’une extrême finesse", ExtendedPlayer.fr
"le constat s’impose : peu d’œuvres racontent aussi bien les doutes et les espoirs de notre époque qu’[e.pok]" Vincent Arquillière, PopNews
"Des chansons aux thèmes très contemporains, à la fois profondes et légères" BenzineMag
"J'adore le nouvel album d'ignatus" Les Chroniques de Charlu (janv 18)
"Ce petit bijou porte bien haut l'imagination au pouvoir", Gonzo Music (sept 17)
"Un grand moment de musique", Zebrock (sept 17)
À l'[e.pok] d'ignatus, Songazine (août 17)
"Ma vie en musique", Télérama.fr (oct 16)
À la radio
Diffusion radio : FIP, RFI, Radio B, Radio-Résonances Bourges, RGB, Radio Association 100.7 FM, Alternantes FM, Radio 666, Radio Grille Ouverte...
«Une émotion qui transcende tous les genres, les courants et les époques» Didier Varrod, France Inter, Foule Sentimentale, (déc 17)
une émission spéciale epok de 50mn sur PFM (sept 17)
interview + live sur Radio Campus Paris (La Souterraine...)
des interview sur Fréquence Paris Pluriel, Radio Grille Ouverte...
Machins/Machines sur France Culture : une heure de live et interview
Sur le spectacle
Avec son collectif [e.pok], Ignatus sort le grand jeu, Tétérama Sortir TTT
"On est subjugué, entre fascination et émerveillement… 2017 a donné le concert de l’année avec BabX à la Cigale pour « Ascensions » et 2018 vient d’avoir son concert de l’année avec « e.pok » au Café de la Danse". Norbert Gabriel, Le doigt dans l’oeil
"A mi-chemin de l'avant-garde électro et de la chanson pop en français, [e.pok] (re)définit un univers singulier et bien à lui." My Head is a Jukebox
"Avec ces arrangements extrêmement insolites, épurés, les textes hachés plus que chantés, on nage en pleine expérimentation. On s’y soumet d’ailleurs volontiers parce qu’émanant de l’extra-terrestre Ignatus, tout peut nous étonner, voire nous réjouir." Annie-Claire Hilga, Mandolino
«une richesse sonore inouïe, osant entre deux classiques couplet-refrain des rythmes électro bastonneurs, voire du spoken-word sur un accord – ambiances évolutives dont les vagues atmosphériques se gonflent, selon les plages, d’un spleen acousmatique plus ou moins tempétueux. Avec, marque de fabrique de l’auteur, des textes auscultant l’époque et l’intime avec autant d’ironie distanciée que de tendresse sous-jacente.
Les musiciens semblent à portée de main, mais la mise en scène / mise en lumière recrée la distance nécessaire au spectacle : les projections commandées par Jérôme Clérmont sur un pupitre à l’arrière sculptent l’espace pour donner à chaque morceau une identité singulière, les images sophistiquées découpent ou encadrent les musiciens, scénographie mouvante en accord avec la multiplicité des ambiances et conférant à ces chansons-qui-n’en-sont-pas-tout-à-fait (ou plus seulement) des airs de tableaux textuels et sonores – impression d’ailleurs corroborée par un inédit divaguant fort à propos sur la peinture moderne et l’art contemporain.»
Nicolas Brulebois, Froggy’s delight
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